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Assassin creed Revelations

Assassins_Creed_Revelations_Cover

Editeur: Ubisoft
Développeur: Ubisoft Montréal
Disponible: PC, PS3, Xbox 360   Testé sur PC.

Bonjours à tous,
c’est mon premier test donc je vous prie d’être indulgent!

saut
Malgré l’âge, Ezio est toujours aussi fringuant.

Pour ce nouvel opus, le troisième de la saga d’Ezio et apparemment l’avant dernier de la série des Assassin’s Creed, on suit les pérégrinations du bel italien devenu un fringuant quinquas. Celui-ci part sur les traces de son ancêtre Altaïr, nous donnant l’occasion de retrouver ce dernier dans quelques séquences « mémoire » inédites.
Ubisoft s’est lâché sur les graphismes, ils sont magnifiques, les textures sont encore plus fines et on retrouve un moteur vieillissant certes mais dont la direction artistique est maîtrisée de bout en bout. Cela est très agréable mais ce n’est pas pour moi pas l’essentiel.

fleur
On peut sauter dans les parterres de fleurs.

Cette fois encore on jouera l’italien Ezio Auditore da Firenze (il est à noter qu’avec l’âge ce dernier me semble plus sympathique qu’auparavant). On pourra aussi se promener dans la vaste ville de Constantinople, théâtre de la majeure partie de cet opus. Vous pourrez toujours y acquérir certains bâtiments (cabinet médecin, armurerie, teinturerie, etc) et même les monuments (ex: Le grand Bazar, la tour Galata…) qui vous rapportent de l’argent, constituant ainsi votre principale source vos revenus dans le jeu.
Il y a tout de même des nouveautés comme l’apparition d’un nouvel accessoire : un crochet permettant d’escalader encore plus facilement les bâtiments ou de prendre des tyroliennes. Cet accessoire change un peu la manière de se déplacer au sein de la ville, Ezio pouvant désormais rattraper certains sauts loupés grâce à ce fameux crochet.

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La ville de Constantinople est une cité imposante.

La jouabilité est un des points forts de ce jeu car même en étant passé de la version console à la version pc, le constat est identique, c’est toujours aussi fluide et agréable.
En ce qui concerne les caméras, celles-ci suivent bien le personnage et pour les joueurs les plus tatillons, elles peuvent être déplacées.
Les combats ne présentent pas de grandes différences avec les épisodes précédents mais on pourra tout de même noter que l’IA a été améliorée. Les ennemis peuvent prendre l’initiative et attaquent même à l’arme à feu pendant que vous affrontez leurs acolytes, ce qui remonte le challenge lors des affrontements.

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Altair revient sur son histoire au travers de séquences dédiées.

Altaïr revient aussi dans quelques séquences qui, niveau action, n’apportent pas vraiment grand-chose mais qui permettent de bien ficeler l’histoire. On est plus spectateur qu’acteur.
On peut aussi déplorer que le scénario au présent ne soit pas assez évoqué et personnellement je n’ai pas compris la fin.
En revanche, j’ai trouvé les liens entre Ezio et Altaïr  bien amenés, l’intrigue est bien faite et prenante.

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Les tyroliennes apporte de la fluidité dans les déplacements urbains.

On pourra regretter que la durée de vie soit tout de même assez mince : soit à peu près 15h si on se concentre sur l’histoire. En faisant les quêtes secondaires habituelles (collecte de fragments d’Animus, assassinat bonus…) on peut monter à 30h mais cela reste du remplissage pas forcément intéressant.
Pour conclure, c’est un jeu prenant, pas extrêmement difficile mais agréable à jouer. Les graphismes sont très beaux, on a une bonne jouabilité mais une durée de vie pas vraiment à la hauteur et un scénario qui aurait mérité d’être plus poussé.

Requiescat in pace Ezio tu nous manqueras!

Silnuina

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