Qui n’a jamais eu un devoir pour lequel il ressentait aucune inspiration, pas la moindre idée de quoi rédiger ?
Il faisait beau, c’était le weekend et vous aviez mieux à faire que de rester devant votre copie blanche.
Et les questions telles que : « A-t-on raison de croire? » ( A quoi bon?) ou « Qu’est-ce que le bonheur? » (On se le demande^^) ne faisaient pas fleurir dans vos têtes jeunes et insouciantes, des élans de créativité littéraire.
Pourtant, il fallait bien rendre le papier à temps.
Google a une réponse
On ne peut pas le nier, Internet est une immense source d’informations et ce, dans de nombreux domaines. On y trouve de tout et n’importe quoi.
Alors il y a forcément quelque part l’information qui vous permettra d’arriver à vos fins et ainsi de récolter une bonne note.
Entre Google pour un petit coup de pouce, Wikipédia qui sait tout, et même quelques sites proposant des sujets entièrement corrigés contre quelques euros, le choix est vaste.
Mais face à cette profusion de ressources, la prudence est de mise comme le montre l’histoire de Loys, professeur de lettre, qui a publié sur son blog un post intitulé: » Comment j’ai pourri le web« . Dans cet article, il nous raconte sa propre expérience avec les infos du net.
Tout commence lors de sa première année d’enseignement au lycée. Il se rend compte en corrigeant les copies de ses élèves que certains d’entre eux se sont servis de corrigés proches du sujet pour rendre leurs dissertations.
Soucieux de ramener ses élèves dans le droit chemin de la réflexion, il va élaborer un plan pour les piéger avec l’aide d‘Anne de Beaunais (J’aime ce jeu de mot).
Cette histoire que je vous invite à lire dans son intégralité ici montre bien les limites des informations glanées sur la toile. Il ne faut jamais hésiter à croiser ce que l’on trouve avec d’autres requêtes sur différents moteurs de recherche et quand c’est possible, sur d’autres supports comme des livres (Et oui ça existe encore !). En tous cas, les élèves de Loys ne sont pas près d’oublier cette expérience pour le moins originale.
[source]
Internet la source d’informations des étudiants
Qui n’a jamais eu un devoir pour lequel il ressentait aucune inspiration, pas la moindre idée de quoi rédiger ?
Il faisait beau, c’était le weekend et vous aviez mieux à faire que de rester devant votre copie blanche.
Et les questions telles que : « A-t-on raison de croire? » ( A quoi bon?) ou « Qu’est-ce que le bonheur? » (On se le demande^^) ne faisaient pas fleurir dans vos têtes jeunes et insouciantes, des élans de créativité littéraire.
Pourtant, il fallait bien rendre le papier à temps.
Google a une réponse
On ne peut pas le nier, Internet est une immense source d’informations et ce, dans de nombreux domaines. On y trouve de tout et n’importe quoi.
Alors il y a forcément quelque part l’information qui vous permettra d’arriver à vos fins et ainsi de récolter une bonne note.
Entre Google pour un petit coup de pouce, Wikipédia qui sait tout, et même quelques sites proposant des sujets entièrement corrigés contre quelques euros, le choix est vaste.
Mais face à cette profusion de ressources, la prudence est de mise comme le montre l’histoire de Loys, professeur de lettre, qui a publié sur son blog un post intitulé: » Comment j’ai pourri le web« . Dans cet article, il nous raconte sa propre expérience avec les infos du net.
Tout commence lors de sa première année d’enseignement au lycée. Il se rend compte en corrigeant les copies de ses élèves que certains d’entre eux se sont servis de corrigés proches du sujet pour rendre leurs dissertations.
Soucieux de ramener ses élèves dans le droit chemin de la réflexion, il va élaborer un plan pour les piéger avec l’aide d‘Anne de Beaunais (J’aime ce jeu de mot).
Cette histoire que je vous invite à lire dans son intégralité ici montre bien les limites des informations glanées sur la toile. Il ne faut jamais hésiter à croiser ce que l’on trouve avec d’autres requêtes sur différents moteurs de recherche et quand c’est possible, sur d’autres supports comme des livres (Et oui ça existe encore !). En tous cas, les élèves de Loys ne sont pas près d’oublier cette expérience pour le moins originale.
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